Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Les hommes qui n'aimaient pas les femmes

Publié le par Nina

Millenium 1

Stieg Larsson 

Actes Sud 2006

Petite biographie de l'écrivain :

Stieg Larsson né le 15 août 1954  décède brutalement  d'une crise cardiaque le 9 novembre 2004. Journaliste-graphiste et écrivain suédois engagé contre l'extrême droite, il a écrit des essais sur l'économie et des reportages de guerre en Afrique, il devient président de la plus grand association nordique de science-fiction et le rédacteur en chef du magazine "Expo" qui est une revue suédoise observatoire des manifestations ordinaires du fascisme. Quelque temps avant sa mort, il envoie à son éditeur une trilogie intitulée Millénium (le titre d'un magazine suédois d'analyses économiques), le premier étant : les hommes qui n'aimaient pas les femmes, le 2ème : la fille qui rêvaient d'un bidon d'essence et d'une allumette, et le 3ème tome : la reine du palais des courants d'air qui sortira en novembre 2007. 

Mon conseil de lecture :

Il faut prévoir du temps et un  entourage compréhensif car il est très difficile de lever le nez de ce roman avant la fin et il fait 574 pages !!

Le roman : 

Ce 1er volume se lit d'un trait tellement l'énigme est passionnante.

les premières pages mettent en scène un octogénaire qui reçoit à l’occasion de son anniversaire, et ce depuis quarante-quatre ans, un étrange colis anonyme : une fleur minutieusement séchée et placée sous un cadre…

Millénium est un magazine à visée socio-économique dont est copropriétaire Mikael Blomkvist qui est aussi un journaliste d’investigation reconnu dans le milieu pour dénoncer, sans concession, la corruption et les malversations du monde des entreprises. Se retrouvant sur le banc des accusés pour des propos jugés diffamatoires à l’égard du multimilliardaire Hans-Erik Wennerström, M. Blomkvist est contraint de se retirer pour quelque temps des coulisses des médias.

Un magnat de l’industrie nationale, Henrik Vanger profite de cette mise en quarantaine pour le contacter. Ce vieil homme, désire l’employer afin que soit résolue l’obsédante énigme de la disparition  de sa nièce Harriet, survenue sur l’île familiale en 1966. Et voilà Mikael Blomkvist happé, un peu malgré lui, par de sombres affaires familiales, dont l’enjeu, la violence et la folie le dépassent parfois. Entre en scène une jeune fille Lisbeth Salander, marginale et asociale car très pertubée par son histoire familiale, elle est surdouée. Elle croisera pour de multiples raisons le chemin du détective avec qui elle finira par former un duo de choc pour découvrir  l'affreuse machination d'un psychopathe.

Dans ce livre l'auteur soulève plusieurs problèmes sociaux et moraux comme : le secret de famille, l'éthique dans la milieu journalistiquele rôle et les conséquences de l'éducation au sein de la famille. Il y a des des réflexions intéressantes sur les circonstances atténuantes des personnes déviantes qui font faire diverger les opinions des personnages principaux du roman jusqu'à la dispute. 

Extrait : (...) Je ne prétends pas que les gens sont uniquement influencées par leur éducation, mais je crois qu'elle joue un grand rôle, son père l'a tabassé, et sérieusement, pendant des années. Ca laisse des traces. (...)

(...)Tu dis des conneries répéta Lisbeth ce n'est pas le seul môme au monde a avoir été battu. Cela ne lui donne pas carte blanche pour assassiner des femmes. C'est un choix qu'il a fait lui-même (...).

Je termine en envoyant une pensée à "Stieg Larsson" pour un hommage posthume bien mérité.

 Si vous voulez un autre avis c'est ici

Partager cet article
Repost0

En vacances chez les six compagnons de la Croix Rousse !

Publié le par Nina

                                                                                          
 
 
                       
Il est impossible de visiter ce quartier sans penser à eux !  
                        
 
 
 
 

Avant de visiter Lyon, j'ai relu le tout premier roman "Les compagnons de la croix rousse".

Vraiment le suspence et la tristesse sont au rendez-vous dans ce premier tome. Tidou quitte son village natal avec sa famille pour habiter Lyon, mais il ne peut pas emmener son chien kafi,  la concierge de son immeuble ne veut pas de chien.

Tidou décide de faire venir son chien en grand secret à Lyon avec l'aide de ses copains. Et c'est comme ça que commence la première aventure des six compagnons. 

Tidou, l'exilé, le petit Provençal, arrive à Lyon :
C'est sous ce voile de pluie que m'apparut la grande cité, grise et triste, si différente d'Avignon où j'étais allé plusieurs fois. extrait de : "les 6 compagnons de la Croix Rousse". 

 

                    Alors que mon arrivée à Lyon s'est faite sous le soleil, 
j'ai découvert une ville plutôt gaie et colorée !    

 

On aperçoit au loin le quartier de la Croix Rousse sous le soleil du mois d'avril !

 

(...)Puis : Nous attaquions la colline de la Croix-Rousse. La pente était si raide que le chauffeur dut, par deux fois, changer de vitesse. extrait de : "les 6 compagnons de la Croix Rousse". 

 

C'est vrai que ça monte !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(...) Puis, sur le "Toit aux Canuts", Corget, qui aime sa ville lui dit : 
"C'est beau, hein ?...sûrement plus beau que le patelin d'où tu viens !"

Puis il parle de la bande du Gros Caillou :
"...Mais tu ne sais peut-être pas non plus ce qu'est le gros caillou ?"

 

Si, je connaissais déjà, sur le boulevard de la Croix-Rousse, cette curiosité de Lyon, une énorme pierre transportée là, parait-il, par les glaciers des alpes extrait de : "les 6 compagnons et la Croix Rousse" 

J'ai vu le "Gros Caillou" mais il est relégué dans un coin de la place à cause des travaux !!

Place de la la Croix Rousse

 

 

 

(...) La croix-Rousse, La maison de Tidou, rue de La Petite-Lune. La "Caverne", un ancien atelier de tisserand, lieu de réunion des six compagnons, et le toit aux canuts(...)extrait de : "les 6 compagnons et la Croix Rousse" 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On peut voir ce bel atelier de tisserand au musée de la miniature à Lyon, par contre je n'ai pas trouvé la rue "de la Petite-Lune" mentionnée dans le roman elle ne doit plus exister.

 

Et puis j'ai cherché le Lyon d'autrefois celui que devait parcourir les 6 compagnons en quête de nouvelles aventures.

J'ai découvert les traboules.

 

  Voici l'entrée d'une traboule

 

 

Et là une traboule(mot lyonnais) : c' est un passage étroit qui fait communiquer deux rues en traversant un paté de maison,  les traboules ont permis une résistance très efficace pendant la 2ème guerre mondiale.

 

 

Et j'ai visité de magnifiques rues avec une atmosphère "très début XXème siècle".

Les six compagnons devaient acheter leur pain dans une boulangerie comme celle-ci !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et pour finir....

Je termine ce petit reportage avec un emblème de Lyon son "théâtre de Guignol" que les six compagnons devaient sûrement apprécier, moi c'est sous la forme d'un marque-page et de chocolats que j'ai ramené Guignol à la maison !!

                                                                                                                  

 

 

 

 

 

 

 

 

et pour rester dans le thème je rajoute la photo un peu insolite de cette marionnette qui fait son numéro derrière la fenêtre !

 

 

 

A bientôt pour une suite de mes aventures touristiques chez les six compagnons!!

 

 

Partager cet article
Repost0

Le train de 5h 50

Publié le par Nina

      

Gabrielle Ciam  Pocket 2006     

 

Il existe une littérature de gare mais avec ce petit livre on peut penser qu'il existe un érotisme de gare !!

Depuis dix ans, une jeune femme prend le train de très bonne heure le matin,  elle aime bien ces départs matinaux vers Paris. Dans le train elle a ses petites habitudes. On devine qu'elle  est  enjouée, moderne et très libérée, car  on nous la présente à travers  ses goûts  vestimentaires qui correspondent toujours à une nouvelle histoire d'amour (...) chaque homme, chaque amant pour être précis avait apporté quelque chose à sa féminité (...)  Ces changements s' appellent :  guêpières, bas nylons et talons hauts !!   

  Le décor est planté, nous pouvons monter dans le train avec notre voyageuse qui avance lentement pour ne pas réveiller ceux qui prolongent leur nuit, arrivée à sa place elle est  un peu agacée, le fauteuil en face du sien est occupé par un homme qui semble profondément endormi. La jeune femme s'installe dans son fauteuil, regarde son voisin et pense à ses anciens amants. La suite est plutôt savoureuse, cette jeune effrontée se déchausse et risque sa jambe entre celles de son voisin. L'aventure se poursuivra le lendemain et les jours suivants. Le lecteur assiste aux petits jeux érotiques, à la montée du désir et la tentation de l'interdit de ces 2 personnes qui ne se connaissent pas.... 

 

Mais cette aventure sensuelle n'est pas si innocente, elle devient un détonateur qui va obliger cet  homme à faire le point sur son existence, sa vie professionnelle et surtout sa vie de couple et aussi sur  le sentiment amoureux qui donne l'impression de vivre plus intensément et d'éviter la routine.  

 

 Je ne suis pas la seule à avoir aimer ce roman : Florinette, Tamara, Baratin 

 Cette nouvelle érotique est très moderne car c'est plutôt la femme qui mène la danse !

  

Partager cet article
Repost0

Les petits ruisseaux

Publié le par Nina

        

  

Un beau lundi matin férié  : un plateau petit déjeuner et une bande dessinée, mais  c'est le  bonheur !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les petits ruisseaux     

Pascal Rabaté  Edition : Futuropolis 2006

Cette BD c'est l'histoire d'Emile qui est veuf et d'Edmond qui est divorcé. Les deux  vieillards  ont pour habitude d'aller à la  pêche, assis tranquillement sur l'herbe en attendant que ça morde, ils discutent. Un jour  Edmond lui confie "Depuis dix ans, depuis mon divorce quoi, c'est ma sixième rencontre que j'ai faite"  Emile est bouche bée devant cette confidence qui  va lui faire prendre conscience peu à peu de  sa solitude. Avec cette BD Pascal Rabaté lève les tabous et nous parle de l'amour physique et du désir chez les personnes âgées mais sans vulgarité aucune. C'est aussi une vraie leçon de tolérance car on y côtoie des piliers de comptoirs qui philosophent,  des cyclistes qui usent de remontants au bar du coin, des personnes âgées à la libido déchaînée, des babas cools bien sympas et eux sans aucun tabou !  Rabaté nous décrit notre monde et rien d'autre et c'est dans celui-ci qu'il fait bon vivre avec toutes ces différences qui sont indispensables à son originalité.

Si vous voulez lire une autre critique intéressante, passez par ici

Publié dans Bandes Dessinées

Partager cet article
Repost0

George Sand et Alfred de Musset

Publié le par Nina

 "Florinette" a mis en ligne le beau poème d'Alfred de Musset "Chanson de Fortunio" et  "Musky" lui a parlé de George Sand dans son commentaire , c'est un excellent  prétexte pour les réunir  et vous présenter l'histoire des......        

             amants terribles  !

                                                  

   

George Sand 

 

 

                                                                                    

                       Alfred de Musset.

Sand et Musset le roman de Venise  Actes sud collection Babel  "Les épistolaires" Edition 1999

En Juin 1833, George Sand rencontre un jeune homme de six ans son cadet : Alfred de Musset, poète et dandy à la mode.

"Mon cher George , j'ai quelque chose de bête et de ridicule à vous dire. (...) je suis amoureux de vous."

Les amants passent l'automne à Paris puis partent pour l'Italie. Le fameux séjour à Venise (janvier mars 1834) tourne au cauchemar et se termine par une séparation. Sand reste en Italie tandis que Musset regagne Paris. Ils s'écrivent, se réconcilient au retour de Sand à Paris en août,  puis se séparent à nouveau. Ils renouent en janvier 1835 pour rompre définitivement en Mars.

George Sand et Alfred de Musset un amour passionnel

La liaison de George Sand et Alfred de Musset a duré 2 ans du 29 juillet 1833 au 6 mars 1835 - 20 mois entrecoupés de trahison, de ruptures mélodramatiques et de reprises.

A l'époque, cette liaison fit scandale et défraya la chronique, mais elle eut surtout les plus hautes conséquence sur la littérature.

Le bilan de cette brêve rencontre est considérable.

Chez Musset, le résultat le plus tangible en est "la confession d'un enfant du siècle".

A George Sand,  Musset doit aussi la génèse de deux chefs d'oeuvre dramatiques. sans elle il n'y aurait eu ni Lorenzio ni on ne badine pas avec l'amour.  

Extrait  du Magazine littéraire N° 432S Mai 2004.

A l'ère du portable il est très facile d'organiser un petit Rendez-vous secret, mais en ce temps là quel stratagème ne fallait-il pas inventer !!!

 

 Nos deux tourtereaux ont tout simplement inventé un poème en forme "d'acrostiche" pour  s'envoyer leur message.

Et voici ce beau poème qui contient un langage codé :

L'histoire raconte qu'Alfred de Musset aurait envoyé cet acrostiche à George Sand (lire le premier mot de chaque ligne mis en majuscules).

Le Poème

QUAND je mets à vos pieds un éternel hommage
VOULEZ-vous qu'un instant je change de visage ?
VOUS avez capturé les sentiments d'un coeur
QUE pour vous adorer forma Le créateur.
JE vous chéris, amour, et ma plume en délire
COUCHE sur le papier ce que je n'ose dire.
AVEC soin, de mes vers lisez les premiers mots
VOUS saurez quel remède apporter à mes maux.

Ce à quoi George Sand aurait répondu :

CETTE insigne faveur que votre coeur réclame
NUIT à ma renommée et répugne à mon âme.

Alfred de Musset & George Sand

 

Et  pour finir, je vous présente cet amusant petit livre accordéon.

L'acrostiche de Musset à Sand est mise en scène par Julot Ribien.

 

 

Ce livre est édité par les éditions rigolotes 21 rue de la chasse 93130 Noisy le sec.

 

Bon week-end de Pâques à tous et à bientôt.

Publié dans George Sand

Partager cet article
Repost0

Zeina Abirached

Publié le par Nina

 

 Une rencontre en noir et blanc

Samedi soir je suis allée faire un petit tour sur le salon du livre  "Lire à Limoges"  cette année il avait pour thème "le Liban".

J'en ai donc profité pour me rendre sur le stand des éditions libanaises. 

Une jeune dessinatrice y présentait ses Bandes dessinées : "Zeina Abirached"

J'ai été attirée par son travail  car j'aime énormément les BD en noir et blanc et j'ai été séduite  par la qualité du dessin, et aussi par sa gentillesse et sa simplicité.

Zeina Abirached nous a fait de belles dédicaces !!!

 

 

                                                                                       

A coté de moi Mme Régine Deforge attend sa dédicace elle aussi !

 

Pour ceux qui ne connaissent pas cet auteur, elle a écrit une grande saga "la Bicyclette bleue" et beaucoup d'autres livres.

 

Les bandes dessinées de Zeina Abirached

Catharis

La première page commence comme ça : "je suis née en 1981 à Beyrouth, dans une impasse"

Cette Bande dessinée raconte un pays en guerre vu par une enfant dont les parents évitent bien de dire ce qui ce passe de l'autre coté du mur.......

 

 

 

 

 

 

 

 Editions Cambourakis 

38, rue Youssef Semaani  Editions Cambourakis

Cette bande dessinée est présentée dans un boite d'un format allongé  et se déplie en 3 parties. Chaque page présente un habitant de la rue Youssef Semaani d'une façon plutôt humoristique. Cette bande dessinée est agréable à lire et à manipuler grâce à son pliage original et belle à regarder car les dessins en noir et blanc ont  une belle touche orientale.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si vous avez envie de vous procurer ces bandes dessinées il faut donner l'adresse de l'éditeur à votre libraire : 

Editions Cambourakis : 2 rue du Marché-Popincourt, 75011 Paris www.cambourakis.com

 

Publié dans Bandes Dessinées

Partager cet article
Repost0

Depuis que les chats s'en mêlent !

Publié le par Nina

   

 

   

 

Les blogs littéraires permettent  de discuter  autour des livres.

Ces échanges  sont essentiellement virtuels  mais comme dans la "vraie vie" ils  sont tout autant imprégnés de chaleur humaine, et maintenant  de rencontres inattendues......

car depuis que les chats s'en mêlent, on vit des petits instants magiques qui nous remplissent de bonheur, comme celui de recevoir la photo d'un chat qui donne envie d'écrire un article puis de lire le commentaire de  Mr Christian Sauvage l'éditeur  du livre "Allumer le chat" et de discuter avec son chat Zoulou !!!

J'avoue que la transition est dure pour parler tranquillement d'un autre livre.....

Aussi j'ai  décidé de rendre un petit hommage aux écrivains qui remplissent leur journée, leur nuit, leur vie à écrire et réécrire avec courage et tenacité des feuilles blanches, ou comme Colette des feuilles bleues, pour ensuite les confier à un éditeur qui va prendre le relais, et nous permettre de lire ces histoires.... 

 

Les passionnés de livres aiment en savoir un peu plus sur leurs écrivains préférés, mais nous ne sommes pas  très friands de détails croustillants, c'est surtout  leurs habitudes d'écriture  qui nous intéressent...

On imagine que tout commence sur  un bureau ou une table de travail comme celle de Marguerite Duras....  

 

 

 

 

  La table de travail dans la chambre de Marguerite Duras, Les Roches Noires à Trouville 1991

"J'écrivais tous les matins. Mais sans horaire aucun. Sauf pour la cuisine. Je savais quand il fallait venir pour que ça bouille ou que ça ne brûle pas. Et pour les livres je le savais aussi." Extrait de "Ecrire".

Marguerite Duras a  livré  ses impressions sur l'écriture dans ce livre "écrire" .

 

 

 

 

 

 

  

"C'est curieux un écrivain. C'est une contradiction et aussi un non-sens. Ecrire c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit. C'est reposant un écrivain, souvent ça écoute beaucoup. Ca ne parle pas beaucoup parce que c'est impossible de parler à quelqu'un d'un livre qu'on a écrit et surtout d'un livre qu'on est en train d'écrire". Extrait de "Ecrire"  M. Duras.

Margurerite Duras a aussi écrit ceci :

"Dans le monde entier avec la fin de la lumière, c'est la fin du travail. Et cette heure-là je l'ai toujours ressentie comme n'étant pas quand à moi, l'heure de la fin du travail, mais l'heure du commencement du travail. Il y a là, dans la nature, une sorte de renversement des valeurs quand à l'écrivain".

"Un livre ouvert c'est aussi la nuit."  Extrait de "Ecrire"

C'est amusant, les passages de ce livre pourraient illustrer ce bureau là  mais à quelques années près !

 Le "bureau placard" de George Sand où  elle a le plus souvent écrit la nuit......

Ce magnifique  bureau est  une belle invitation à une  promenade littéraire dans le château de George Sand à Nohant....

Partager cet article
Repost0